Jacques-Philippe
Albertini
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1988 Djibouti-" Apollo club "
Antibes-" galerie AO "(gr)*
1989 Djibouti-CMO
Djibouti Ecole Normale
1990 Ajaccio- LP Finosello
Ajaccio-" espace l'Araignée "(gr)
Ajaccio-" galerie Convergences "
1991 Antibes- " galerie des remparts "(gr)
Ajaccio- " galerie EXPOS :
1988 Djibouti-" Apollo club "
Antibes-" galerie AO "(gr)*
1989 Djibouti-CMO
Djibouti Ecole Normale
1990 Ajaccio- LP Finosello
Ajaccio-" espace l'Araignée "(gr)
Ajaccio-" galerie Convergences "
1991 Antibes- " galerie des remparts "(gr)
Ajaccio- " galerie Convergences "
Cargèse-" U Pumonte "(gr)
Porticcio-" galerie de Porticcio "(gr)
Ajaccio- " espace l'Araignée "(bannières-gr)
1992 Ajaccio- " galerie Convergences "
Salon Pennes-Mirabeau (prix côte des arts)
Salon Porc-de-Bouc(2e prix)
Ajaccio-" espace Casale "
Porto-vecchio-" galerie Mila "(gr)
Prix " Trophées de la couleur " L.Bourgeois
Porticcio-hôtel Sofitel
Prix patrimoine ville de Bastia (tapisserie d'Aubusson)
1993 Ajaccio- " espace la Marge "
Lyon- " galerie Dimitrio "
Ajaccio- " galerie Convergences "
Ajaccio-" espace l'Araignée "
1995 Nouméa- " 1ere Biennale Art contemporain
"
1997 Nouméa- " galerie Galéria " (gr)
Nouméa- " galerie Arte Bello "
1998 Nouméa- " galerie Arte Bello "
1999 Nouméa- " galerie Australe "
2001 Nice-" galerie Alta "(gr)
Cagnes- " maison des artistes " (gr)
2002 Vence- " espace H. Matisse "
* : expo de groupe
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« Supprimez
la mer, le port, les bateaux, les chameaux et les chameliers :
que reste-t-il de Djibouti ? Son âme. Cette vie secrète et
profonde qui transparaît dans les gestes de la vie quotidienne,
au coin de la rue, au marché et qui passe si souvent inaperçue
pour les touristes pressés, l’œil de J.Ph. Albertini , peintre de l’instant et de l’instinct,
l’a captée et son pinceau nous la décompose (…)De véritables tableaux
mouvants aux couleurs qui éclaboussent comme
le soleil »…La Nation.
(Jeudi 3 mars 1988) |
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« Un
tourbillon de couleurs ! les toiles de J.Albertini plongent
la galerie Convergences dans un monde étonnant où les scènes de
tous les jours semblent sortir d’un album de science-fiction. Ces
tableaux-là ont une énorme qualité : ils se lisent(…) On passe
son temps à les découvrir. D’abord ils provoquent un véritable choc.
Eclatement des teintes vives qui s’entrelacent, dansent, et provoquent
la bizarre impression d’être plongé dans un feu sous-marin. De partir
dans un autre monde…( …) Le contraste entre cette maîtrise
du dessin pur et le foisonnement du traité est saisissant.(…) La
dernière dimension , celle que l’on découvre en collant les yeux
à la toile, est humoristique ; par jeu, Albertini a émaillé
ses tableaux d'écritures invisibles au premier regard, toutes
plus drôles les unes que les autres.(…) Il y a incontestablement
un côté ludique, confirmé par la lueur malicieuse dans l’œil du
peintre dès qu’on lui pose la moindre question.(…) C’est une peinture
totalement inédite mais c’est beau. Très beau même !(…) » I.
Luccioni . NICE-MATIN (Mars 1991) |
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Son expo s'intitule "
voyages " : on ne pouvait trouver mieux pour évoquer
le parcours artistique et professionnel de ce prof d'arts plastiques
installé dans la cité impériale. L'osmose
entre la carrière et l'uvre de l'artiste est parfaite.(
)
Les toiles qu'il présente actuellement à la Marge
semblent des vues aériennes d'un monde en mutation : lagons
inexplorés, océans bouillonnants. Une uvre
tonique, remuante, vivifiante. S.F. LA CORSE (06/01/93)
"Ce qui frappe d'emblée
le visiteur : le développement quasi paroxystique soit
nappé, soit brisé et minutieux des envolées
colorées. L'initiative est laissée à la couleur
qui joue des harmonies violentes sans démarche préconçue
(
). Rien de prémédité, rien de construit,
la toile offre un espace d'évasion au regard
J.Renucci.CORSE-MATIN
(06/01/93)
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PARCOURS
Né en 1949. A 12 ans, heureux héritier du "coup de
crayon" paternel, il se frotte déjà aux plâtres
antiques, parmi les étudiants des Beaux-arts d'Alger. Venu tardivement
à la peinture ( pour faire plaisir) durant un long séjour
de coopération en Afrique, il y prend goût. Pourtant sa formation
de professeur de dessin ( Bordeaux) bien qu'essentielle, ne l'avait guère
préparé à cette pratique, réputée trop
sérieuse et trop prenante. Jusqu'alors son univers gravitait autour
de la guitare et du dessin .
A Djibouti, les multiples scènes de rue, brossées de mémoire
et surtout ancrées sur la femme, font progressivement place à
une courte période"aérographe" . Le succès
l'y encourageant, il poursuit donc l'expérience picturale...
De retour en Corse, son travail, toujours figuratif, devient alors plus
"enlevé". La touche nerveuse, "à la VanGogh",traduit
la convivialité, la complicité, la joie de communiquer.
C'est la période du vécu et du senti: scènes typiques,
chanteurs, guitaristes, mais la palette est encore sage : ocres, bleus
Les
expos s'enchaînent, l'engrenage redouté est désormais
en route
Puis la touche devient flamme et la palette éclate : c'est
le temps des clowns, des joueurs de boules, des parties de cartes ou de
421, et surtout du jazz avec ses "bufs nocturnes"
ou ses hommages . Déjà, la couleur vive a pris le pas sur
le trait ; la représentation (toujours de l'humain) cède
progressivement la place à des aplats vifs et contrastés,
ponctués de graphismes, de drippings ou encore de petits messages
cachés, relatifs à une mort annoncée comme certainede
la peinture...
Du " réel " de l'humanisme on est peu à peu passé
à l'univers récréatif de l'improvisation colorée.
Un séjour de 6 ans en Nlle
Calédonie vient enfin enfoncer le clou et cristalliser cette liberté
de peindre " en s'amusant " autour des matières
et des couleurs. Actuellement installé aux Antilles, J.Ph.Albertini
poursuit toujours son exploration de l'abstraction baroque. G.M
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les débuts:
Djibouti 1987
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Nouméa
93/99
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